~Adam~ Dans un lac ~

Dans le lac

Adam Stevenson & Kim Park

Encore une fois, j’étais partie seule sans personne. Encore une fois, j’avais sorti sans la permission et encore une fois, j’allais me faire engueuler parce que j’étais partie sans un Vadrouilleur. Je m’emmerdais, il fallait bien que je sorte? Il fallait bien que je me divertis. Il fallait bien que je m’amuse un peu non? Donc oui, j’étais partie encore une fois du Fort Harker sans le consentement de Lucas et surtout j’ai filé en douce sous les regards des Vadrouilleurs. Je m’en fichais, j’avais le droit non? J’étais une spécialiste des armes, j’avais tout le temps des armes sur moi. Je savais me battre et je n’avais pas peur de ces zombies qu’un putain de scientifique a osé créer. Un zombie, c’est laid, dégueulasse et ça pu. Un cadavre en décomposition, qu’on pouvait voir la chair qui est noirci et moisi avec l’humidité et la sécheresse du soleil. Des bouts de peau qui tombent de temps en temps avec des vers blancs dessus. Puis quand tu leur trous la peau, on pouvait voir un beau giclement de sang après l’orifice de la balle. Un beau feu d’artifice de sang contaminé, c’était beau et pourtant j’avais le goût de vomir.

Je marchais dans la forêt. Saleté de forêt qui se retrouve partout. C’était soit ça, ou les ruines de la vie précédente qu’on avait tous. Pourtant, je n’avais pas de bons souvenirs des bâtiments tout brisés, donc je prenais un choix judicieux ou pas; la forêt. J’avais entendu dire que près de cette forêt, il avait des petits lacs. En Corée du Sud, il n’avait pas vraiment de paysages que la végétation est à perte de vue. C’était une ville et après une ville, il avait une autre et ainsi de suite pour arriver à la mer. C’était plutôt banal. J’étais déçue de pas voyager avec que les zombies n’apparaissent et de voir des beaux paysages féériques et qui sait, peut-être ça m’aurait plu.

Je marchais avec mon pistolet silencieux à la main. Pourquoi seulement un pistolet? Et pourquoi silencieux? C’était le pistolet à mon père et mon père a toujours dit à mes frères et à moi de préférer surprendre l’ennemi que l’ennemi te surprenne. Donc, être agile avec des pas de félins pour être silencieux. Puis le silencieux, c’était pour ne pas attirer les autres zombies et ça marche plutôt bien jusqu’à présent puisque je suis encore en vie.

Un rodeur ici, un autre plus loin. Je n’ai pas eu de misère à les abattre. Sauf que j’entendais des pas lourds qui approchaient rapidement dans mon dos. Mon seul réflexe et de sortir mon couteau de chasses à ma ceinture et de le poignarder. Une belle lame élégante, mais à la fois épaisse. Dentelée pour couper la chair plus facilement. Bon, un cadavre c’était facile à décapiter. Je le repoussais rapidement avant qu’il ne tome sur moi puis j’en profitais également de lui donner un coup de pied sur la tête. Oui, comme un ballon de foot!

Je continuais ma marche pour finalement voir un étang, bon, un lac pour être exact. Je touchais l'eau en prenant quelques gorgées. L'eau était bonne. L'eau était rafraîchissante. Pourquoi pas ne pas faire une baignade? J'enlevais tranquillement mes vêtements en regardant autour de moi et je rentrais dans l'eau par la suite, un peu froide par contre.

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Dans un lac ~

Adam Stevenson & Kim Park

Qui dit vadrouilleur dit vadrouiller cela va de sois et c'est donc ce que je fais aujourd’hui, comme a peu près chaque jour qui passe depuis l'apocalypse. Cela me permet de cassé des têtes et surtout de me défoulé pour évacuer la rage que j'ai en moi depuis depuis cette foutu annonce qu'on ma faite à savoir que je suis pas le fils de mon père mais celui de mon oncle , c'est déroutant et je n'arrive toujours pas à réalise que mes cousins son enfaîte mes frères à croire que c'est vraiment ça la fin du monde pour moi et non pas l'attaque des zombies.
Ce matin je me suis pris la tête avec l'un des membres de mon groupe à qui j'ai bien faillit retiré la vie si l'on m'avais pas retenu . J'ai donc décidé d'aller vadrouiller mais seul pour me vider la tête mais aussi pour pas resté dans un coin à ne rien faire puisque c'est pas mon genre de rester inactif et je fini au petit lac ou je vais marché un moment autour avant de me rendre compte qu'il y a quelqu'un qui se baigne à l’intérieur. Je suis pas un pervers sexuelle qui va s'approcher exprès pour mieux la mater mais j'attends quand même en m'installant sur le sol avec en main mon couteau de poche et un morceau de bois que j'aiguise pour passe le temps.

codage by Wiise

Dans le lac

Adam Stevenson & Kim Park

Pas à pas, je descendais. Pas à pas, arrivé à mes pommettes de fesses, je finissais par plonger. Nager sous l’eau, retenir sa respiration…. Cela me relaxait énormément. Je ne pensais à rien, juste à ne pas respirer sous l’eau. Ne pas respirer c’était comme si tu te retenais de vivre, comme si tu étais en train de t’enlever la vie. Oui, comme si tu te tuais toi-même et pourtant quand on sortait de l’eau pour reprendre son souffle c’était revigorant. C’était excitant, je pourrais faire cela toute ma vie si je le pouvais, mais malheureusement, j’entendis un bruit dans la forêt. Je me cachais la poitrine et je lançais des regards autour de moi. Rien? Peut-être c’était un animal sauvage finalement.

Je recommençais à nager. Je voulais me divertir, me changer les idées sur la merde qui pouvait exister dans le monde. Déjà, les zombies. Ces fumiers qui ne mouraient jamais réellement, ils ne vivaient jamais réellement non plus. On les voyait déambuler comme ça sans raison et quand ils sentaient de la chair fraîche, ils en deviennent dingues. Tout ça à cause des expérimentations d’un scientifique. Les scientifiques, je les haïssais, hais et haïrai toute ma vie. C’était à cause de leur curiosité à toucher des métabolistes vivants et à faire des expérimentations que le monde est rendu comme ça. Que la population est au minimum et qu’on devait survivre à cause d’une stupidité. Je voudrais savoir à quoi que le scientifique a pu penser quand il se faisait mordre… À quoi ces personnes pouvaient ressentir quand elles se faisaient mordre? Elles ressentaient quoi? La douleur? La vie qui disparaissait? À quoi? Je ne voulais pas le vivre, mais j’étais surtout curieuse de voir ce qui pouvait arriver. Je savais seulement que la morsure d’une personne envers une autre était douloureuse, mais de là à perdre la vie? Aaah, les virus et les microbes…

Un autre bruit que j’entendis. Je me tournais la tête pour voir ce que c’était. Je me dirigeais vers mes vêtements pour enfiler rapidement mes sous-vêtements et prendre mon pistolet. Je me dirigeais vers l’endroit où il avait le bruit. Tranquillement, mais sûrement, j’arrivais au niveau de ce bruit pour finalement pointer l’arme vers un beau petit minois.

«Elle est assez affûtée...»

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Adam Stevenson & Kim Park

Personnellement je me fiche de savoir comment les zombies ou qui que se sois d'autre ressent surtout si il me fait chier . Je lui plante un truc dans le corps je fait de sorte qu'il crêve et je m'en contre fou de la douleur qu'il aura eu tant que j'arrive à le tuer pour qu'il me bouffe pas c'est le principale.

Je continue d’affûté mon morceau de bois en restant bien installer à ma place quand d'un coup une jolie asiatique munie d'une arme me pose une question , vu la façon dont elle point l'arme sur moi je lâche mes affaires et je lève les mains comme le font les gens qui sont surpris mais je ne reste pas la comme un con à rien dire :

Oh la tout doux ma jolie, je fait rien de mal … Je profite juste du calme et de la vu rien de plus.

codage by Wiise

Dans le lac

Adam Stevenson & Kim Park

Un homme joli. Un bel homme qui affûtait un morceau de bois. Il était là et il ne faisait qu’affûter un morceau de bois. C’était un peu surpris qu’il ne profitait pas plus de la vue dont il parlait, mais ce qui me surprit le plus c’était que j’avais l’impression qu’il attendait. Il attendait quoi? Que je lui saute dessus comme une bête en chaleur? Que je me fasse attaquer pour ainsi être mon fameux héro? Non. Je n’étais pas celle qui sautait sur la première personne qui voyait, étrangement je ressemble à une femme qui veut croquer et qui veut avoir du sexe avec n’importe qui, mais non! Puis, je n’étais pas celle qui se faisait sauver à tout bout de champs. J’étais capable de me sauver toute seule et j’étais assez grande de me débrouiller toute seule. Si je me faisais mordre? C’était mon problème et pas celle des autres.

Assez grande et débrouiller toute seule… Ça me rappelait ce que mon père me disait quand il nous entraînait mes frères et moi. Que j’avais l’impression qu’il se démenait sur moi pour ainsi que je devienne celle qui n’avait besoin de personnes pour se défendre. Que je devienne indépendante aussi. Être une femme forte qui n’avait peur de rien. Puis survivre… Je ne pensais pas que mon père avait raison. Pourtant, c’était grâce à lui qui m’a permis de survivre jusqu’ici. Honnêtement, je ne croyais pas à dire cela un jour, mais une chance que mon père était un bizarroïde et qu’il était assez borné pour ne pas se fier aux jugements des autres et continuer notre éducation car sans lui… je ne serai même pas là aujourd’hui, en sous-vêtement, devant un joli minois.

« La vue et le calme t’ont plu au moins?»

Je n’ai pas pu m’en empêcher de lui dire ça. Après tout, ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas dit que j’étais jolie et que je pouvais plaire à d’autres hommes que les personnes que je connaissais. Puis un compliment, ce n’était pas méchant non?

«Pourquoi un morceau de bois?»

Oui, j’avais une fixation sur son morceau de bois. Ça m’intriguait tellement. Peut-être faisait-il un pieu? Allait-il me le mettre dans le cœur tel un vampire? Ça serait tellement drôle et con à la fois que ça soit justement ça.

Invité

Dans un lac ~

Adam Stevenson & Kim Park

Je la regarde en faisant d'abord de gros yeux et je les clignes ensuite, est ce que j'ai apprécier la belle vu ainsi que le calme. Forcement sinon je ne serais pas la , cela va de sois et puis le lac est pour tout le monde me semble t-il c'est pas interdit d'être la. Je hausse un peu les épaules à ce que j’entends et la regarde à nouveau pour dire :

Effectivement et vu les temps qui cours je ne pense pas que c'est un crime d’apprécier ou même de profité des belles chose de la vie … On est quand même dans un monde pourrit par les zombies alors excuse moi si je me suis montré un peu trop curieux mais je ne suis qu'un homme...

Je regarde alors le bout de bois que j'ai en main et je cligne des yeux avant de la regarde.

J'en sais rien comme ça … J'ai besoin d'occuper mes mains et puis qui sais peu être que ce petit bout de bois peu servir !!

Je ne disais pas servir contre elle mais contre les zombies, qui sais peu être qu'un ridicule bout de bois peu faire des malheurs sur eux .

codage by Wiise

Dans le lac

Adam Stevenson & Kim Park

Je regardais la tronche qui avait et je penchais la tête. Ô toi, joli homme, tu sais que tu n’étais pas du tout laid. Moi, qui se présentais en sous vêtement devant toi, c’était un peu normal que tu apprécies la vue non? Toi, qui ressemblais étrangement à un homme que je connais, tu étais plutôt mignon que j’ai envie de te faire confiance. Alors, allais-tu gâcher ma confiance? Que j’étais bête, je ne faisais pas confiance aux gens aussi facilement. On m’a blessé autrefois et j’ai eu assez mal comme ça que j’ai failli ne plus m’en remettre.

«Non, non, tu as le droit.»

J’avais mis mon pistolet en dessous du menton de cet homme pour faire en sorte qu’il puisse me regarder dans les yeux. J’avais levé mes sourcils en le regardant. Je le regardais un peu trop que j’ai éclaté de rire avant de ranger mon pistolet et de lui tendre la main pour l’aider à se lever. Le bout de bois pourrait servir c’est vrai, mais j’espérais que ce n’était pas pour moi et découper le peu de vêtements que j’ai en ce moment même. Puis occuper ses mains, il aurait toujours un moyen, mais nah, il ne fallait pas exagérer. J’étais peut-être aguicheuse, mais de là à aller proposer qu’il me touche, je n’étais pas une pute. J’avais ma dignité que je devais garder même si on était plus ou moins nombreux à avoir survis aux zombies.

«Espérons que c’est pas pour des fins personnels, ton bout de bois. Veux-tu te baigner? Je pourrais te mater à mon tour.»

Je rigolais en lui tendant toujours ma main pour qu’il se relève. C’était un peu intimidant de parler à quelqu’un alors que j’étais debout en sous-vêtement et lui assis. J’aimais bien quand on était capable de voir mon décolleté. Allons, allons, je déconne. On n’avait pas le droit de rire dans durant cet apocalypse?

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Dans un lac ~

Adam Stevenson & Kim Park

Elle me dit que j'ai le droit et moi je vais haussé les épaules bêtement . Pourquoi ? Bah j'en sais rien c'est un sale réflexe que j'ai en ce moment... Toujours entrain de haussé les épaules ou de grimacé pour trois fois rien . Bon après c'est vrai qu'elle aurais pu dire non, que j'ai pas le droit de la mater et la aussi j'aurais regarder de travers ou fait une grimace. En même temps je contrôle pas toujours mes expressions et encore moins mon comportement comme je l'ai dit toute à l'heure je ne suis qu'un homme.

Merci c'est bien... Gentil !!

En plus d'être un mec a faire des grimaces je trouve rien d'autre à dire merci c'est gentil , dans le genre débile y a pas mieux que moi mais bon je me refait pas. Je continue de trafiquer mon morceau de bâton quand celle-ci me fit une remarque et une fois de plus je hausse les épaules à ce qu'elle dit sur ma réponse.

Ah des fins personnels ? J'ai pas l'intention de me planté moi même je suis pas suicidaire... Je la regarde. Et si je décide de me baigner tout habiller hein ? Tu vas mater quoi mon t-shirt tremper . Rigole . Enfin pourquoi pas , fait chaud aujourd’hui en plus.

Vu qu'elle me tend la main je comprend vite qu'elle veux que je me relève alors je pose mes outils et je prend sa main pour me lever en la remerciant .

codage by Wiise

Dans le lac

Adam Stevenson & Kim Park

«C’est bien gentil»..? C’était tout ce qui me répondait? Je lui présentais des perches et c’était tout ce qui me disait? C’était décevant, je ne m’en cacherais pas, mais j’étais déçue. Déçue, du fait qu’il haussait régulièrement les épaules et aussi du fait qu’il n’avait plus ou moins de réponse concrète. J’avais une nette impression que cet homme était le genre à laisser la femme porter les culottes, vous comprenez? Laisser la femme décidée, c’était bien plus facile que d’être celui qui dirige la maisonnée. Être celui qui ne décidait pas et qui ne prenait pas de grosse et de grande décision. Il était là juste pour faire acte de présente et faire la bien paraître, car il fallait l’avouer, il avait une belle gueule. Le problème était qu’il n’avait plus ou moins opinion qui lui laissait croire qu’il avait une tête sur les épaules. J’avoue que c’était méchant, mais je ne l’avais pas dit, je le pensais.

Qu’il en soit ainsi. Qu’il pense que j’aurais pu lui sous-entendre le fait qu’il voulait se tuer, se suicider. Se tuer tel un vampire qui se faisait trouer le cœur avec un pieu. Tel un vampire qui suçait le sang de sa victime d’un air sensuel avec sa délicatesse. Tel un vampire qui caressait sa victime alors qu’elle avait un orgasme en sentant les dents entrées dans sa chair. Le sentant vider de son sang, sentant sa vie s’éteindre à petit feu que c’était excitant. Érotique. J’avais décidément trop vu des films de vampire de la sorte. Que le beau vampire mordait une belle demoiselle pour en faire d’elle sa douce. Non, pas comme à la Twilight, puisque c’était un film lourd. Les deux acteurs principaux n’étaient pas aussi plaisants à voir dans l’écran que dans leur prestation, j’étais déçue, mais j’aimais bien l’histoire. Pas les acteurs, seulement l’histoire

Je l’aidais à se relever. Il avait finalement ri. Enfin. De toute façon, je n’allais certainement le laisser habiller alors que j’étais en sous-vêtement. Je n’allais sûrement pas le laisser comme tel alors que je voulais voir ce que je pouvais voir. Le torse. Les jambes d’athlètes? Dos musclé? Au moins voir s’il était coupé, c’était toujours beau voir un homme découpé torse nu. C’était à croquer… C’était enviant. Il était debout, je retournais où qui avait mes vêtements pour déposer mon flingue et retourner dans l’eau. Marcher un peu dans la vase du lac à la hauteur des genoux avant de plonger et d’aller au milieu du lac. Sortant légèrement la tête pour pouvoir respirer, mais je le regardais. Je voulais le mater et je n’allais certainement pas me le cacher. S’il l’avait fait alors moi aussi je voudrais me languir de cette scène.

«Allez! Fais pas ton timide, on s’est plus ou moins présenté, c’est ton tour!»

Je lui faisais signe de venir dans l’eau en rigolant. S’il s’enfuyait, il n’irait pas loin de sitôt surtout en me disant des belles paroles comme il m’a dit. Pourquoi pas, avait-il. Le pourquoi pas était révélateur dans ce cas pareil comme quoi qu’il était d’accord. Qu’il me donnait son approbation de se baigner avec moi et de le mater.

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